JEAN-DOMINIQUE REY
Année : 2003
Édition : 1ère
Domaine : Littérature
Thématique : Nouvelles & Novellas
Né à Paris, études d’architecture à l’École des Beaux-arts, suit les conférences du Collège Philosophique, des cours à la Sorbonne, aux Hautes Études et au Collège de France (ethnologie, histoire des religions, philosophie). Chargé de recherches du Centre International d’Art Roman. Lecteur et rédacteur aux édition Plon, puis aux éditions Mazenod-Citadelles où il participe à l’édition de la collection « L’Art et les grandes civilisations ».
A publié des articles et des textes dans Critique, Jardin des Arts, Vie des Arts, Cimaise, Arts, Les Nouvelles Littéraires, l’Écrit du temps, Le Journal Littéraire, Les Lettres françaises, Poésie 95, Le Horda, Théodore Balmora, Le Matricules des Anges, Sources, etc.
Rédacteur en chef depuis 1995 de la revue de poésie et de littérature Supérieur inconnu.
A organisé des expositions d’art contemporain à Paris, Strasbourg, au Guatemala, en Égypte, en Syrie, en Roumanie, fait partie de jurys d’art internationaux (Sao-Paulo, Barcelone) et prononcé des conférences sur la photographie et la peinture à Buenos-Aires, Damas, Bucarest.
A participé à des émissions littéraires et artistiques sur France-Culture (Gauguin par lui-même…).
Préfaces et textes sur de nombreux artistes contemporains : Albert Bitran, Victo Brauner, Camille Bryen, Émile Compard, Max Ernst, Jean Hélion, Ipousteguy, Wilfredo Lam, Henri Michaux, Zoran Music, Sam Szaran, Arpad Szenes, etc.
Poète et critique d’art, Jean-Dominique Rey est mort en mai 2016, à l’âge de 90 ans.
« Après avoir erré dans Amsterdam près des canaux gelés, déjeuné chez les Chinois, on trouva refuge dans une église gothique décapée de tout décor et dont seules restent les structures : arêtes vives, courbes ascendantes qui se joignent en ogives, fenêtres aux rythmes de flammes mais dont les vitraux clairs, mats et sans images ne laissent filtrer qu’une lumière d’aquarium. »
(Comme un adieu aux arts…)
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